Triumph TR 3 Cabriolet à vendre

La Triumph TR 3 est la reine de son époque et s’est imposée dans son aspect en version améliorée de TR 2.

La naissance de la Triumph TR 3

Triumph TR 3 a été conçue pour la première fois en octobre 1955 sous la houlette de Motor Company du Royaume-Uni. Parmi les 13 377 véhicules produits, 1 256 rouleront en Grande-Bretagne, tandis que le reste a été exporté aux Etats-Unis. Grâce à sa puissance, elle a été adoptée par de nombreux pilotes pour les courses automobiles. En l’occurrence, Annie Soisbault a pu devenir une championne lors du Rallye Paris – Saint-Raphaël Féminin de sa catégorie en 1959. Au dernier recensement en 2002, 893 Triumph TR 3 et TR 3A ont encore été vus dans leur pays d’origine. Elle est conçue en 2 places cabriolet, mais un troisième siège et un hard top peuvent s’y intégrer. La différence de cette voiture avec son prédécesseur, la TR 2, est sa calandre modifiée et équipée d’une grille en aluminium et en chrome. Par ailleurs, le feu de stop central de l’arrière du véhicule a été remplacé par 2 feux implantés sur les ailes. Par conséquent, les clignotants sont séparés et ont été enlevés du centre de la malle arrière. Quant à la motorisation, la Triumph TR 3 embarque un moteur de 95 chevaux, à bloc de 4 cylindres, qui tourne à 5 000 tours à la minute. Ces carburateurs sont plus gros (SU HS6) et elle a des freins à disques en série, en option depuis septembre 1956. Un an plus tard, la Triumph TR 3 est mise à l’arrêt de production pour laisser la place à la TR 3A.

Triumph TR 3 : les évolutions

En version évoluée, le roadster Triumph TR 3 a été équipé d’un deuxième silencieux pour que la voiture émette moins de bruit à l’extérieur. Des freins à disques Girling intègrent l’avant du véhicule et l’arrière est renforcé par des pièces des Standard Vanguard. A partir de 1957, une nouvelle face habillera la voiture avec une large calandre incluant les feux-de-position, ainsi que les clignotants.

Triumph TR 3, la star de son époque

La production de cette gamme est arrêtée en octobre 1961 pour laisser la place au suivant, la TR 4. Après l’échec de la nouvelle gamme, la deuxième série de TR 3 est lancée en mars 1962. Elle représente la dernière évolution de la série. Elle a si bien marqué les esprits des passionnés de véhicules motorisés, qu’elle est devenue pratiquement la star de son époque. Ce roadster se démarque par ses joints d’ailes en acier inoxydable, et aussi par l’écusson qui trône fièrement sur son capot. Sa mécanique simple lui a valu l’attrait des amateurs.